Sources

1790Jugement en dernier ressort rendu publiquement à l'audience du parc civil du Châtelet de Paris... qui condamne Pierre Curé, à faire amende de honorable devant la principale porte de l'église de Paris où il sera conduit par l'exécuteur de la haute-justice dans un tombereau, ayant écriteaux devant et derrière portant ces mots : (séditieux ; perturbateur du repos public), à trois jours de carcan, à être battu nud, fustigé de verges, marqué des lettres GAL. sur les deux épaules, et aux galères à perpétuité, pour avoir proféré publiquement des propos incendiaires et séditieux ; comme aussi d'avoir proféré contre la Reine des propos criminels attentatoires au respect dû à Sa Majesté, etc.

1798ehrlosigkeit. sie ist folge aller strafen, welche der schinder vollzieht, und deswegen auch von dem ausstellen an den pranger oder schandpfahl

1805der pranger oder schandpfahl ist derjenige erhabene ort, wo die missethaeter zur oeffentlichen schau ausgestellt, und an ein halseisen angeschlossen werden. damit muß man jedoch nicht den bloßen strafpfahl verwechseln. die stellung an den pranger oder schandpfahl zeigt allemal von einem schweren verbrechen und giebt zu erkennen, daß der missethaeter eine leibesstrafe verwirkt habe. Auch ist mit der Stellung am Schandpfahl gewöhnlich die Infamie verbunden, besonders da solche von dem Büttel vollzogen zu werden pflegt.

1827die criminalstrafen sind ... 5) pranger, 6) staatsbürgerliche degradation, d.h. unfähigkeit öffentliche aemter zu bekleiden

1827Jugement rendu par la Cour d'assises du département des Deux-Sèvres, séant à Niort, du 9 avril 1827, qui condamne à la peine de mort le nommé François Giraudeau, cultivateur, demeurant au village de Prin, près Mauzé, convaincu d'assassinat sur la personne de François Giraudeau dit La Fontaine, son oncle. [- Complainte à ce sujet - Trait de jalousie : assassinat commis à Reims, au mois de mars dernier, par le nommé Belcourt, sur son épouse. - Complainte à ce sujet. - Jugement rendu par la Cour d'assises du département de l'Orne, séant à Alençon, le 23 juillet 1826, qui condamne aux travaux forcés à perpétuité et à une heure d'exposition au carcan, la fille Colombe-Hiacinthe Peudefay, âgée de 31 à 32 ans, fausse religieuse, se disant soeur Placide, native de St Pierre-sur-Dives, près Falaise domiciliée à Cruley, près l'Aigle, atteinte et convaincue d'avoir étranglé l'enfant dont elle venait d'accoucher et de l'avoir ensuite précipité dans une manière - Complainte à ce sujet]...

1828im canton Uri giebt es ... bloß aufbewahrungsorte fuer angeklagte, aber keine strafanstalten, da man nur auf leibesstrafen, pranger, brandmark, einschiebung in fremden kriegsdienst, tragung von abzeichen, verweise, geldbussen und dergl., zu erkennen pflegt

1830vorn und hinten wurde die geige mit umhängung der entwendeten felderzeugnisse geschmückt

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